Une fresque

Je n'aime pas quand on me fait peur. Et cette lecture me la faisait quasiment tout le temps. L'intensité de la violence dans ce livre est insupportable. Surtout si quelqu'un est une femme. Comment ai-je donc survécu tout cela ? 

La réponse est la beauté. Très rare dans cet œuvre, elle semble d'être encore plus attirante en contraste avec la misère de l'héroïne principale et de sa famille. Également la construction polyphonique du roman, donnant la voix presque à chacun. J'écris "presque", car l'auteur la donne uniquement aux victimes, pas aux agresseurs. Et peut-être être pour minimiser les effets émotionnels, il raconte son histoire dans un temps d'autrefois, pas contemporain. Ou bien pour donner une impression de regarder une fresque ?

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